Dans quelle mesure ne verrez pas le cerf-volant

Un clin d’œil, la ligne s’est brisé

Dans le temps de fleurir, la rouge a convert mes yeux

Quelle proche, en effet dans le ciel

Malgré le vent qui souffle sur mes pensées, mais tu as disparu

Le temps va et vient et j’ai été à l'origine

Le vent souffle les kapoks, je manque du temps fugace

Possède le passé sans toi, voit la hâte du temps

Manque des oublis, n'est que la rêverie

Obtient la main pas sûr, je ferme les yeux

Je crois fermement

Combien d'années qu'on m'a donné pour t'oublier

En été que le kapok à floraison mais on passe par ombre

Pour orner la saison confondue, tu verrouille la promesse

On n'a pas besoin de se rappeler en pénétrant des couches de souvenirs

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